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  • : Un bloc-notes sur la toile. * Lou, fils naturel de Cléo, est né le 21 mai 2002 († 30 avril 2004).

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25 août 2016 4 25 /08 /août /2016 00:15

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Vivement les congés payés ! – Sara Seale, La cage d'argent

Jean-Pierre Coasne, Vivement les congés payés ! – linogravure, 2016

Vivement les congés payés ! – Sara Seale, La cage d'argent

Remerciements à Jean-Pierre Coasne, qui nous a autorisé à reprendre ici son travail d'artiste – que l'on ne saurait confondre avec les petits romans que nous chroniquons pour la plage.

Vivement les congés payés ! – Sara Seale, La cage d'argent

Sara Seale, La cage d'argent (The Silver Sty, 1942), traduction française, Harlequin, 1982

 

Lors d’une soirée organisée au manoir de Fallow, Sarah rencontre un séduisant inconnu, bien différent des autres… Quelle n’est pas sa stupeur, lorsqu’elle découvre enfin son identité : il n’est autre que son tuteur, James Fane, dont elle redoutait tant le retour !

Le nouveau venu va-t-il imposer sa loi et inculquer les bonnes manières à sa fougueuse pupille, qui aime vivre à sa guise, sans souci des convenances ?

Certes non, l’adolescente ne l’entend pas de cette oreille… Mais aura-t-elle le dessus ?...

4e de couverture

Vivement les congés payés ! – Sara Seale, La cage d'argent

Sara Seale was the pseudonym by Mary Jane MacPherson (d. March 11, 1974) and/or A.D.L. MacPherson (d. October 30, 1978), a British writing team of over 45 romance novels as from 1932 to 1971. Seale was one of the first Mills & Boon's authors published in Germany and the Netherlands.

 

Incipit

 

A l'intérieur, quelqu'un jouait au piano J'aurais pu danser toute la nuit. C'était étrange, songea James, debout devant la porte dont il venait de presser la sonnette. Treize ans auparavant, par une soirée d'été semblable à celle-ci – celle où Clare avait rompu avec lui... – il avait entendu la même mélodie, se mêlant dans l'air chaud et embaumé au clapotis de la rivière toute proche...

 

George Cukor, My Fair Lady, 1964, un film inspiré de la pièce de George Bernard Shaw, Pygmalion, 1914 – I could have danced all night

 

Finis coronat opus

 

Oui, acqiesça-t-elle, souriant à travers ses larmes. En souvenir...

Nous en cueillerons beaucoup d'autres, Sarah.

Glissant tendrement son bras autour de ses épaules, il l'entraîna vers l'escalier.

 

Remerciements à Patrick Szymanek qui nous a offert ce beau livre.

 

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commentaires

Y
Il est bizarre cet incipit où c'est moi ? je ne comprends pas l'usage des temps... :-)
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L
C'est classique et je ne vois rien à redire aux temps.

 


 
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