Coton. Elle était née à la maison, il y a huit ans. Elle est partie, comme tant d'autres, comme Bamboo, dans un piège.
Elle se plaisait bien dans sa potée.
Coton. Elle était née à la maison, il y a huit ans. Elle est partie, comme tant d'autres, comme Bamboo, dans un piège.
Elle se plaisait bien dans sa potée.
Disney Code autorisait la suspension d’intérêt.
Joyce Pensato, Maxi Mickey, 1993, peinture émaillée sur toile, 202 x 160, Frac des Pays de la Loire
Œuvre réalisée dans le cadre des Ateliers internationaux du Frac des Pays de la Loire
Jean Sébastien Bach, Prélude et fugue n° 9 in mi majeur, BWV 854, int. Glenn Gould
Prélude
Au FRAC des Pays de la Loire, dans ces années-là, une douzaine de belles âmes pédagogiques en réunion, un Lou discret, et le Mickey de Joyce Pensato.
[Oméga] _ Tu vois des choses ? J’ai remarqué, tu es le nez sur la toile ou à dix mètres ?
Les copains élaborent leur stratégie.
Ils ne regardent pas, ils causent, ils reprennent un gobelet de café.
[Lambda] _ C’est violent !
[Bêta] _ C’est l’Amérique.
[Epsilon] _ On a honte.
[Lambda] _ …
[Lou] _ Oui, on a honte…
[Epsilon] _ On a honte d’avoir lu Mickey.
[Lou] _ On a honte de dire qu’on lit Mickey.
[Epsilon] _ On a honte d’avoir lu…
[Lou] _ … et de lire avec plaisir Le Journal de Mickey !
...
[Epsilon] _ Ces dégoulinures, c’est la dénonciation de l’Amérique d’aujourd’hui !
…
[Lou] _ Ces dégoulinures sont savantes et l’Amérique, ce n’est pas le sujet.
Lou, qui avait ses entrées aux Ateliers, à l’abbaye de Fontevraud, et qui, justement, avait vu Joyce travailler, monte au tableau, façon de parler.
Joyce Pensato dans son atelier
Fugue
Le sujet, c’est la peinture.
Dans la manière, on peut voir Franz Kline. Un artiste s’inscrit toujours dans une histoire.
Franz Kline, Chief, 1950, huile sur toile, 148,3 x 186,7, The Museum of Modern Art, Highlights, New York
Joyce Pensato, Maxi Donald, 1993, peinture émaillée sur toile, 202 x 160
Œuvre réalisée dans le cadre des Ateliers internationaux du Frac des Pays de la Loire
Le détournement d’une icône du spectacle se trouve chez Willem De Kooning, près de dix ans avant les travaux d’Andy Warhol.
Willem De Kooning, Marilyn, 1954, 127 x 76,2, Collection Neuberger, Museum of Art Purchase College, State University of New York
Andy Warhol, Marilyn, 1967, sérigraphie, 91,5 x 91,5, chaque sérigraphie
Andy-Warhol, Mao, 1972
Yan Pei-ming, Portrait de Mao, 1999, huile sur toile, 200 x 200
Œuvre exposée en ce temps-là sur une cloison latérale, tout près du Mickey.
[Yan Pei-Ming a fait ses études dans l’académie de la République Populaire de Chine, et, tout en vivant en France, il est exposé dans son pays d’origine où ses toiles ne sont pas considérées comme iconoclastes]
Quand je fais un visage, dit-il, il est tout à fait autonome et ne représente pas un personnage précis. Je travaille sur l’anti-portrait.
Les dégoulinures font penser à la Bad painting, ou plutôt à l’Action painting, terme créé en 1952 par Harold Rosenberg dans un article de la revue Art News :
A un certain moment, les peintres américains [...] commencèrent à considérer la toile comme une arène dans laquelle agir, plutôt que comme un espace dans lequel reproduire, recréer, analyser ou « exprimer » un objet réel ou imaginaire. Ce qui devait passer sur la toile n'était pas une image, mais un fait, une action. Ce n'est plus avec une image dans l'esprit que le peintre approchait de son chevalet ; il y venait, tenant en main le matériau qui allait servir à modifier cet autre matériau placé devant lui. L'image sera le résultat de cette rencontre.
Dans cette peinture en acte, l’artiste s’investit en se représentant, la représentation n’étant que l’empreinte d’un déplacement.
Bad painting, peut-être, poursuit le Lou imperturbable – ils n’ont pas encore compris.
Regardons de plus près – avec leurs gobelets de café bouillant, ils se penchent mais ils restent assis.
Les dégoulinures sont recouvertes d’un trait blanc, cependant que des coulures noires sont rajoutées, pour faire joli.
Prenons nos distances, brosse en main – personne ne bouge.
Joyce Pensato est une femme de taille moyenne.
Le cercle du ventre de Mickey est tracé d’un seul geste, c’est l’empreinte corporelle de l’artiste. Prenez les mesures du tableau, mettez-vous à l’aune de Joyce et tracez un cercle, d’un unique trait de pinceau, selon Shitao – Epsilon prend son portable et reprend un peu de fluoxétine avec son reste de café.
Le Mickey est une empreinte, une représentation, un déplacement.
Kazuo Shiraga dans son atelier
[déjà cité ici]
Kazuo Shiraga, Funryū, 1973, acrylique sur toile, 182 x 210
Kazuo Shiraga, Untitled, 1957, huile sur papier marouflée sur toile, 181,5 x 242,5, Musée National d’Art Moderne, Centre Georges Pompidou, Paris
Atelier d’Yves Klein, 1960
[oui, on voit un Mickey]
Yves Klein, Anthropométrie, 1960
Si un artiste, qui ne serait pas un artiste, veut dire que l’Amérique est pourrie, il prend un vieux drap, un pot de Ripolin, une brosse, et il écrit : l’Amérique est pourrie.
Joyce Pensato est un peintre.
Les chantres du Disney-la-honte ne connaissent pas les aventures de Mickey Mouse, les années noir et blanc – sortie en salle et en DVD prévue pour le 7 juillet 2010.
Connaissent-ils la peinture ?
Andy Warhol, Double Mickey Mouse, 1981
Douze suites trad pour flageolet à une main, 2004 – extraits enchaînés
Jean Duval, flageolet en ré
Rachel Aucoin et Dorothy Hogan, piano
Philippe Longval, percussions
Reinhard Goerner, guitare
Joanne Saint-Laurent, harpe
Ces suites ont été composées en 2001 et 2002, dans le but de relever un défi original, soit celui de produire des pièces pouvant être jouées avec une seule main sur le flageolet à six trous en ré dans des clés et modes différents.
Pour certains airs, un adhésif est posé sur l’avant-dernier trou du flageolet, complètement pour obtenir le mi grave, ou bien, à demi pour obtenir un fa naturel.
En fait, nous écrit-il, il s'agit d'un flageolet (flûte à bec) à 6 trous, familièrement appelé tinwhistle en Irlande, et non pas d'un galoubet, qui est une flûte à bec provençale à 3 trous qui se joue toujours à une seule main. Ce qui rend mes Suites un peu spéciales, c'est que je les ai composées en n'utilisant qu'une seule main au flageolet, donc en n'ayant accès qu'à 4 des 6 trous. C'est un peu la même idée que les œuvres pour piano à une main ou pour violon sur une seule corde...
Un exercice oulipien.
Les suites ont des caractères différents, irlandais, écossais, québécois. Elles rappellent certaines variations baroques.
L’enchaînement des courts extraits fait entendre la cohérence de la composition.
Nous vous encourageons à commander l’album ICI.
En toute quiétude. Les frais bancaires du change sont de l’ordre de 50 centimes.
Et puis vous aurez peut-être le plaisir de cet échange épistolaire – authentique, doit-on le dire ? :
Sujet : Lou - Your CD Baby Order! SOxxxxxxxx
De : orders@cdBaby.com
Date : 09/05/2010
Pour : Lou
Lou
Thanks for your order with CD Baby!
USPS
(1) Jean Duval: 12 suites in traditional style for one-handed tin whistle
Your CD has been gently taken from our CD Baby shelves with sterilized contamination-free gloves and placed onto a satin pillow.
A team of 50 employees inspected your CD and polished it to make sure it was in the best possible condition before mailing.
Our packing specialist from Japan lit a candle and a hush fell over the crowd as he put your CD into the finest gold-lined box that money can buy.
We all had a wonderful celebration afterwards and the whole party marched down the street to the post office where the entire town of Portland waved "Bon Voyage!" to your package, on its way to you, in our private CD Baby jet on this day, May 8, 2010.
We hope you had a wonderful time shopping at CD Baby. In commemoration, we have placed your picture on our wall as "Customer of the Year." We're all exhausted but can't wait for you to come back to CDBABY.COM!!
Thank you, thank you, thank you!
Sigh...
We miss you already. We'll be right here at http://cdbaby.com/, patiently awaiting your return.
--
CD Baby
The little store with the best new independent music.
http://cdbaby.com cdbaby@cdbaby.com (503)595-3000
Sujet : Re: Lou - Your CD Baby Order! SOxxxxxxxx
De : lou@xxx
Date : 27/05/2010
Pour : CD Baby
Merci, merci !
Mercy ! C'est trop !
Our packing specialist from Japan lit a candle
Je vais mettre un cierge à votre intention.
we have placed your picture on our wall as "Customer of the Year."
Only one customer this year ? Que le Grand Flageolet vous accompagne !
Et merci pour votre message de suivi, j'en connais peu (actually none) qui s'offrent avec un tel esprit.
Tout de même, où est le satin pillow, promis en gift ?
Lou
Sujet : RE:Re: Lou - Your CD Baby Order! SOxxxxxxxx
De : orders@cdBaby.com
Date : 27/05/2010
Pour : Lou
Oh non ! Votre oreiller de satin a-t-il été volé par un homme malfaisant de courrier ? I' ; m si désolé au sujet de ceci ! I' ; bilingue de m pas, mais le Français est-il encore exotique dans ce temps ? ;)
-Pony
Eh oui ! Il n’y a pas que des analphabètes sur la Toile.
Saravá ! Bienvenue à l'écoute du juke-box de Libellus !
[cet article précédemment paru le Mercredi 6 août 2008 a été fusillé par les félons du Deezer qui compte encore bien des fidèles dans l'aveuglement de la nouvelle renaiϟϟance]
Un thème, trois pièces.
Samba Saravah (Samba de benção), Pierre Barouh.
Samba de benção, Vinícius de Moraes.
Nous vous laissons le plaisir de découvrir le troisième chef-d'œuvre…
Non ! le lecteur du Deezer est dans les sables… ce fumier a brûlé toutes nos belles playlists et on lui dit m…erci !
D'autres listes de lecture sont prévues. Vous êtes invités à y participer – en écrivant à Libellus ou à Lou, pour ceux qui ont l'adresse. Proposez et si nous disposons des originaux, c'est tout simple, sinon, nous vous demanderons de laisser un mp3, au moins 192, sur un serveur – un fichier joint ne passerait pas. Il nous faudrait aussi une jpeg de la pochette et, bien entendu, vous avez l'original.
Registres au programme : jazz, rock '70… '80… et plus, rétro franchement rétro, là nous avons, rétro '60 (en particulier, Les Chats Sauvages, Amour et rock, inconnu à notre connaissance en cd – et pour faire passer un microsillon en numérique sur un ordinateur ~~~ | oui, il y a, peut-être, des sorties et entrées ligne). ***
***
C'est fait maintenant.
Nous renonçons à un spécial Stockhausen, Glass & Co ainsi qu'à un dédié JH, nous ne cherchons pas délibérément à perdre notre audience :)
Encore que… les voies de la pédagogie, n'est-ce pas...
Dans vos propositions, s'il y en a, évitez… lisez Libellus et votre esprit de discernement fera le reste ;)
[Ce juke-box s'inspire de l'idée de G.T.-art-rock : dans le cadre du Mood Organ Playlist, il s'agit de proposer une humeur (du moment) à écouter]
Walt Disney
Sa vie
Walter Elias Disney est né le 5 décembre 1901 à Chicago, Illinois, de son père et de sa mère. Plus tard, le 15 décembre 1966, il est mort à Los Angeles, Californie.
Dans l’entre-deux, il a fait montre envers les enfants d’une cruauté inégalée depuis l’invention du cerceau et du bilboquet.
A l’école, selon le témoignage de son instituteur, il était aimable, il avait toujours le sourire. C’est la seule note favorable dans ce lourd dossier.
En effet, dès l’âge de 12 ans, il est à Sarajevo où il assassine froidement l’archiduc d’Autriche.
Ensuite, sa vie n’est qu’une longue série de crimes crapuleux et sordides dont nous retiendrons, en 1932, un Oscar d'honneur pour la création de Mickey Mouse, en 1938, un Oscar d'honneur pour Blanche-Neige et les Sept Nains, en 1940, un Oscar d'honneur pour Fantasia, et la liste serait longue.
En 1963, on le retrouve à Dallas, Texas, où il abat le président John Fitzgerald Kennedy. A l’audience, il déclare : il souriait tout le temps.
Le 26 juin 2007, une machine infernale de sa conception tue une jeune fille au Rock 'n' Roller Coaster du Walt Disney Studios Park installé à Marne-la-Vallée, Seine-et-Marne. [annexe]
Il a toujours nié ce crime en faisant valoir pour tout alibi qu’il était alors au cimetière Forest Lawn Memorial Park de Glendale, Californie, depuis plus de dix ans. On a pourtant relevé sur place les traces d’un hamburger, son mets favori.
Selon les plus grands chercheurs (Robert Faurisson, ancien professeur au lycée de jeunes filles de Vichy, docteur ès lettres avec francisque du jury, Noam Chomski, fondateur de la grammaire dégénérative, et bien d’autres), se fondant sur des documents irréfutables, hélas ! disparus dans le tragique incendie du Cercle de la Pendule, il était le fruit d’une union contre nature entre un éléphant et une souris, comme on le voit bien à sa moustache.
Juif baptisé, il s’affiche clairement comme antisémite dès 1940 dans Pinocchio. Franc-maçon depuis toujours, comme le montre la tenue de Mickey, inspirée des tabliers de la confrérie,
il devient anti-communiste en 1941, à une époque où cela n’est pas encore bienséant, et il va jusqu’à dénoncer des animateurs grévistes qui bloquaient la production de Dumbo.
Et il y a plus grave.
Des informateurs, obligés par serment au devoir de réserve et par prudence à l’anonymat, ont démontré le caractère subliminal et caverneux de la pomme empoisonnée offerte à Blanche Neige par la reine Monsanto, dite Witch dans la version française.
Son fantôme hanterait encore les lieux saints d’Hollywood, mais on n’en est pas sûr.
Son œuvre
Passons les œuvres de jeunesse, comme Steamboat Willie, où il ne ménage ni la chèvre ni la souris, dessinée par Ub Iwerks comme il est écrit dans le générique – les deux compères travaillent sur la même planche, de conserve, et ils mangent souvent du singe.
Steamboat Willie, 1928
1937 : Blanche-Neige et les Sept Nains (Snow White and the Seven Dwarfs).
Le scandale éclate au grand jour :
_ apologie du travail bien fait dans la joie !
_ écologie fruitière à peine dissimulée !
_ défense et illustration de la Blanche (Snow) !
How Walt Disney cartoons are made, 1937
1940 : Pinocchio.
Les enfants qui ne vont pas à l’école deviennent des ânes. Quelle ânerie !
1940 : Fantasia.
La même année ! Un rogaton de la musique classique, fort heureusement caché aux jeunes générations par la Star Nouvelle Vague.
1941 : Dumbo.
Les champignons hallucinogènes ! les éléphants roses ! le cirque de l’école ?
1942 : Der Fuehrer's Face.
Quelle insulte à notre peuple ami, venu relever l’Occident ! heureusement, la relève est là !
1942 : Bambi.
Insupportable ! un torchon animé qui présente les chasseurs comme des tueurs ! comme des incendiaires !! comme s’ils étaient de la racaille !!!
1950 : Cendrillon (Cinderella).
Une pantoufle de verre ! et mon chausseur est une pastèque ? le vair est dans le fruit, on vous le dit.
1953 : Peter Pan.
1954 : Vingt Mille Lieues sous les mers (20 000 Leagues Under the Sea).
Et maintenant les marins-pêcheurs qui vont à la pêche aux moules, moules, moules, au péril de leur vie !
1955 : La Belle et le Clochard (Lady and the Tramp).
Passons la sauvegarde du clochard, encore que l’animal ne soit pas en voie de disparition, mais le spaghetti ! le spaghetiii !!! *
1959 : La Belle au bois dormant (Sleeping Beauty).
_ démonstration de la piquouse sédative !
_ annonce de l’Apocalypse en temps de crise !
_ et puis ce « bois dormant » ! aussi ridicule qu’un « arbre perché », justement signalé par Jean-Jacques Rousseau ! il faut dire « dormant au bois » **.
1961 : Les 101 Dalmatiens (One Hundred and One Dalmatians)
Là, on pousse un grand cri : non ! autant dire que Karl Lagerfeld, humoriste bien connu, écorche des animaux vivants *** !
Louis Armstrong, Ramona, 21 avril 1953
Tout ce que vous venez de lire est faux, presque tout, Walt Disney est né, il a vécu, il est mort, c’est vrai, et il aimait les hamburgers, et Satchmo, such emotion forever, true ! autrement...
Et pourtant, le Protocole des Sages du Fion fait encore le bonheur des élites pédagogiques.
Enfin… le bonheur… quand le lou n’est pas dans le bois.
* cet article venant en réplique à l'oeuvre de JMD, nous invitons Mélanie à partager le spaghetti de l’amitié en mémoire du très cher.
** il faut dire ce que c'est que prose et que vers.
Emile, II
*** parce que pour la fourrure, autrement ce n’est pas bon
[annexe]
Rock 'n' Roller Coaster Starring Aerosmith, a high-speed roller coaster for big kids, teens and adults, is amplified by the driving beat of a soundtrack recorded by the rock group Aerosmith specifically for this attraction.
With the force of a supersonic F-14, accelerate from a stand-still stop to high speeds—then swoop into 3 inversions and discover a new twist on viewing Los Angeles: upside-down!
Step into the G-Force Record studio where you see the 5 members of Aerosmith wrapping up a practice session before their big concert on the other side of town. The show starts soon, the band's late and their manager is trying to get them on the road. You're invited to come along. But how's everyone going to get to the big bash?
The solution: a super-stretch limousine that races across 3,400-feet of roller coaster tracks past Southern California landmarks and slices through the toughest of traffic on the LA freeways.
Each "car" is furnished with a 125 speaker, 24 sub-woofer, 32,000 watt, onboard audio system—built to blast. Careen through the neon-filled streets of Tinseltown, the rock 'n' roll adrenaline pumping through your veins, your body feeling the force from launch to loop at zero to 60 miles per hour in 2.8 seconds. This is one limo ride you'll always remember!
Rock 'n' Roller Coaster Starring Aerosmith is sponsored by Hanes®, and is located next to The Twilight Zone Tower of Terror attraction in the Sunset Boulevard area of Disney's Hollywood Studios theme park.
Guest Policies
•Due to the nature of the experience, service animals are not permitted on this attraction.
•Guests with young children may take turns experiencing attractions. See a Cast Member for additional information.
•For safety, you should be in good health and free from high blood pressure, heart, back or neck problems, motion sickness or other conditions that could be aggravated by this adventure.
•Guests must transfer from motorized scooter or ECV to an available wheelchair, then from the wheelchair to the attraction/ride vehicle.
•Expectant mothers should not ride.
Bouclez votre ceinture et en route pour un voyage unique : une vidéo qui décoiffe avec comme vedettes Aerosmith et... vous ! Une aventure hilarante, qui vous entraîne à la vitesse de l'éclair à travers les mégawatts du monde de la musique Rock - le tout sur un rythme effrené signé Aerosmith ! Vous surfez sur la musique avec 120 haut-parleurs embarqués et plus de "G-Force" à encaisser que pour un entraînement d'astronaute. Emportés par le rythme du Rock, vous êtes propulsé de 0 à 100 km/h en moins de trois secondes et enchaînez virages en épingle, descentes en piqué et loopings, tête à l'envers à travers le nec plus ultra de la vidéo Rock. Voilà ce qui s'appelle une expérience remuante !
Bon à savoir . Idées sympas. Recommandations importantes et restrictions.
Taille minimum : 1,20 m.
Les visiteurs en fauteuil roulant doivent être accompagnés par une personne valide pour les aider à sortir de leur fauteuil et à s'installer dans l'attraction. Les Cast Members ne sont pas autorisés à aider les visiteurs handicapés à sortir de leur fauteuil roulant.
Cette attraction est formellement interdite aux femmes enceintes, aux personnes portant une minerve ou un appareil orthopédique et aux personnes souffrant de problèmes cardiaques ou de dos.
Tuesday, 26 June 2007
Teenager dies at Disneyland Paris
French police are investigating the mysterious death of a 14-year-old girl who lost consciousness while riding on a roller coaster at Disneyland Paris.
The Spanish teenager's friends noticed she was unconscious when the RockNRoller Coaster ride had stopped.
Medical teams at the theme park tried to revive her but by the time an ambulance arrived, the girl had died.
A preliminary inspection of the roller coaster found no machinery malfunction, but the ride remains closed.
Disneyland spokesman Pieter Boterman said the ride would not reopen until the cause of the girl's death was determined.
The ride is at the Walt Disney Studios Park in Marne-la-Vallee, east of the French capital.
Scène 1
Dans un salon bien connu de thérondelle
_ ça va casseeer !
_ tu crois ?
_ Charles-Edouard dit : ça va casser !
_ …
_ tu n’as rien pris avec ton thérondelle ? t’as pris un thérondelle sans rondelle ?
_ Paul-Hervé avait acheté de l’Equateur…
_ l’Equateur, ça a cassééé ! Charles-Edouard a tout remis en dollars… tu veux la moitié de ma rondelle ? il faut partager, c’est la criiise !
_ tu me donnes la moitié de ton aumônière ?
_ … le Niqab, ça va casser !
_ note, moi je trouve ça élégant, et puis Saint Paul a dit…
_ … oh ! Saint Paul ! si tu remontes au Moyen Age ! heaume sweet heaume !
_ :)))
_ c’est Charles-Edouard, un vrai bouc-en-train… tu ne sais pas ce qu’il leur a dit, quand ses ouvriers ont occupé l’usine sous prétexte qu’il ne les payait plus ? Vous n’aviez qu’à acheter du dollar !
_ ce n’est pas là que…
_ … si ! ils l’ont pris en otage ! mais il avait son portable, il a appelé LeGigne…
_ … le ?
_ LeGigne…
_ … ah oui ! ceux qui sont en niqab…
_ … ce n’est pas pareil, eux ils ont le droit !
_ c’est parce qu’ils ne sont pas…
_ … si ! ils en ont, c’est la loi du gotha… c’est pour qu’on ne les reconnaisse pas quand ils cassent les vitrines derrière les manifestants…
_ … tu es sûre ?
_ c’est Charles-Edouard qui connaît quelqu’un !
_ mais les femmes habillées en niqab…
_ … c’est la loi, on ne doit pas masquer son visage en public !
_ et pour la grippe mexicaine ?... alors Roselyne, elle va être obligée de retirer son…
_ … tu dis n’importe quoi ! tu ferais mieux… Mademoiselle, deux autres thérondelles, avec les rondelles… et, Mademoiselle, vous mettrez quelques pets de nonne pour mon amie, elle est fatiguée…
_ … tu ne devrais pas, pense à ta retraite…
_ … c’est fait ! on part la semaine prochaine ! on a tout mis sur le yacht, on en a pour cent cinquante ans !
_ tu crois que ça suffira ? et les pirates ?
_ Charles-Edouard s’est mis avec…
_ … ça va casser… tu as vu Bangkok ?… il paraît que même Fred a dû anuler…
_ Charles-Edouard ne s’est pas mis avec… il l’aurait anulé, comme tu dis :)
_ et LeGigne ? il ne va que dans les usines ?
_ tu n’es pas au courant ? dans les quartiers, on leur jette des canettes !!! ça casse de partout ! Mademoiselle ! je peux vous régler en dollars ? tu comprends, je n’ai plus un euro en poche, la criiise !
_ des canettes ? de l’alcool à cet âge-là !
Scène 2
En passant devant le BoboBar
_ nous, on est grandes… si on allait s’en jeter un petit ? là… non ! tu l’as vue ?!
_ hein ?
_ tu l'as vue ?
_ où ?
_ là ! regarde ! enfin, fais comme si tu ne regardais pas
_ oui, elle nous sourit
_ sa voituuure !
_ oui, elles sont comme nous, enfin maintenant, avec l’Equateur de Paul-Hervé… elle est comme toi
_ … :(((
Sans chemise, sans pantalon / I.Agel - J.Lebourgeois, int. Les frères Eloi, 1950
… et de mirages.
TUNISIE : Une terre de liberté d’expression
RSF avec le support de l’UNESCO a décrété le 12 Mars 2008 journée internationale pour la liberté d'expression sur internet. En cette occasion et dès le 11 Mars, "La Presse" a voulu mettre les points sur les "i" à travers cet article de Mouldi Mbarek dont voici un extrait :
Malgré une conjoncture internationale où les libertés régressent et se rétrécissent et où les crises se creusent et s’approfondissent, la Tunisie, grâce à la vision anticipatrice et novatrice de son Président qui a toujours su prendre rendez-vous avec l’Histoire, est aujourd’hui un centre régional et international d’affaires et de commerce, une terre de liberté d’expression et d’opinion et un pont de dialogue fécond entre les cultures, les religions et les civilisations.
Une page de Samsoum (not accessible in Tunisia), 11 mars 2008
Une terre de liberté…
Le site de Khanouff est interdit en Tunisie.
A la lecture de sa page du jour, on comprend.
Comprenne qui voudra.
Episodes précédents
L’occupation s’est faite d’une façon correcte
Henri Cornat, de larme et de l’ombre
Une libération qui dérange
Claude Gatignol, présenté dans les pages précédentes, a fait paraître son témoignage sur les heures difficiles de la guerre, au temps de l’Occupation qui, malgré quelques bavures, inévitables, comme le rappelait Jean-Marie Le Pen dans Rivarol, le 7 janvier 2005, s’est faite d’une façon correcte à Valognes, dont Henri Cornat était le maire fidèle et reconnaissant au Maréchal Pétain [note 1] :
J’ai reçu des témoignages si nombreux et si précis des Valognais ayant vécu auprès de lui les heures difficiles de la guerre qu’il n’est pas permis de douter un seul instant de la conduite d’un homme, attaquée par les errements d’une sensibilité exacerbée, et surtout mal informée, j’ose l’espérer.
Ces témoignages n’ont jamais été publiés, on le comprend, et on nous permettra de ne pas donner les noms de nombreux témoins de la région qui nous ont confié leur contentement des Allemands, des gens corrects et propres sur eux, et leur insatisfaction à l’arrivée des troupes alliées, bien résumée par Fernand Leboyer dans La Presse de la Manche, le mercredi 7 juin 2000 : Il a regretté que les alliés aient utilisé des « bombes incendiaires » et qu’ils les aient « largués très haut » sur la ville. « La guerre a fait 280 morts à Valognes, deux fois plus qu’en 14-18 ».
Les Alliés ont fait deux fois plus de morts au cours de la Seconde guerre mondiale que les Allemands en 14-18.
Tout le monde n’ose pas le dire.
Une amnésie rémanente
La page historique du site officiel de la Ville de Valognes donne :
L'évènement majeur du XXe siècle demeure le traumatisme provoqué par les bombardements américains de juin 1944
Valognes-Auschwitz, changement à Drancy, c’est de l’ordre du détail, de l’inévitable.
Henri Cornat, fort occupé, avec son entreprise de fournitures électriques pour l’occupant et sa fourniture de renseignements (erronés, l’erreur est humaine) aux Alliés, ne pouvait être au four et au pressoir, il faut comprendre.
En France du moins, l'Occupation allemande n'a pas été spécialement inhumaine
Jean-Marie Le Pen, réf. supra
Une confusion humaine, trop humaine
André Montagard, Charles Courtioux, Maréchal nous voilà ! , int. André Dassary accompagné par l'orchestre de Ray Ventura (enregistrement Pathé, 1941)
André Dassary était un joli ténor, mais, on peut le dire, dans les aigus la voix un peu dans le masque, un peu nazillarde.
De Verdun à Montoire, le Maréchal sauve la patrie une seconde fois.
Dans son édition du 21 mars 1941, Cherbourg-Eclair rapporte
L’HOMMAGE ALLEMAND AUX MORTS DE LA GUERRE
La Mairie [de Valognes, la ville où se tient la cérémonie et dont Henri Cornat * est le maire nommé par Philippe Pétain, auquel il a livré, au moment de sa prise de fonctions, un vibrant hommage relaté par Cherbourg-Eclair] nous communique la note suivante : « A l’issue de la cérémonie militaire allemande qui s’est déroulée le dimanche 19 mars, au cimetière, le commandant des troupes stationnées à Valognes a fait déposer une magnifique couronne sur les tombes des morts de la Grande Guerre. Nous tenons à lui exprimer nos remerciements pour ce geste, qui associe dans un même hommage tous ceux qui sont morts pour leur pays. »
* Son action dans la Résistance a été reconnue et saluée dès le 1er octobre 1947.
De Pétain à De Gaulle, les anciens combattants sont-ils nés sous la même étoile ?
Edouard Molinaro, Au Bon Beurre, 1980, d’après le roman de Jean Dutourd, 1952
La confusion est tolérée par des historiens et par souci d’humanité.
Michel Muller, ancien professeur au lycée Henri Cornat, historien, président de l’association Les Amis de Valognes, rédacteur de la revue d’histoire de Valognes, Val’Auna, a confié auprès de Ouest-France, le mercredi 20 juin 2007, peu avant de prendre sa retraite, le témoignage de sa dernière expérience d’examinateur au baccalauréat : J’ai lu un très bon devoir avec des connaissances, mais l’élève a confondu De Gaulle et Pétain. Alors quelle note doit-on appliquer ? se demande le journaliste. Le professeur avec l’expérience avoue : Il faut rester humain.
Claude Gatignol, brillant parlementaire d’aujourd’hui, ami et protégé d’Alain Madelin, s’est d’abord inscrit aux Républicains indépendants, formation de Valéry Giscard d’Estaing.
Valéry Giscard d’Estaing (on ne rappellera pas une fois de plus, après Charles de Gaulle, selon le témoignage de son fils, qu’il s’agit d’un nom d’emprunt) a supprimé, en 1975, la commémoration de la victoire alliée au motif de la réconciliation franco-allemande, invitant à vénérer le 11 novembre les morts de toutes les guerres.
La confusion érigée en institution.
La capitulation du nazisme, le 8 mai 1945, ainsi débaptisée a été rebaptisée 8 mai, en 1981, par François Mitterrand.
Comme la place de la Mairie de Valognes avait été débaptisée et rebaptisée place du Maréchal Pétain par Henri Cornat, avant d’être re-rebaptisée place de la Mairie après l’occupation tranquille.
Le lycée Henri Cornat de Valognes a reçu son baptême de la communion populaire et sa confirmation depuis 70 ans.
Un gouvernement est toujours le gouvernement du peuple
fût-il brachycéphale, dolichocéphale ou acéphale même.
[note 1]
La défense du Maréchal Pétain est un droit reconnu par la Cour Européenne de Strasbourg (arrêt du 23 septembre 1998).
M. le Maire propose au Conseil d’adresser un message de reconnaissance et de fidélité au Maréchal Pétain et de donner son nom à une place ou une rue de la ville. Ces deux propositions sont adoptées d’enthousiasme. Un texte sera rédigé en fin de séance * pour la première et, sur la demande de M. Cornat, la place de la mairie portera désormais le nom du Maréchal Pétain.
* Le Conseil Municipal de Valognes, récemment nommé, réuni le 18 mars, adresse au Maréchal Pétain l’expression de sa respectueuse admiration et l’assure de contribuer par tous les moyens en son pouvoir à l’œuvre de redressement national entreprise par le Chef de l’Etat.
Le 22 mars 1941, Cherbourg-Eclair publie les remerciements du Maréchal Pétain transmis par son Secrétaire Général au Maire de Valognes.
Le 8 mai est un jour de mémoire en Algérie, c’était le 8 mai 1945.
Et l’indépendance de l’Algérie selon Charles de Gaulle
Vous avez beau dire, y'a pas seulement que de la pomme, y'a autre chose
Je l’appelais Kahline.
Abdelhak Bourouba, Ya kahline el aïnine wa echeffar Sidi boukhd chriq, Chaâbi algérois, Soirée à la casbah d'Alger le 3 mai 2008
Depuis la Casbah où je l’avais rencontrée, le chaâbi montait à notre terrasse dans les hauteurs d’Alger.
Son voile bleu, ma page blanche en avait pris la couleur.
Je préparais la monographie ultime d’Antonello da Messina, et son tranquille et simple sourire me rappelait la Vierge à Palerme.
Sa pudeur silencieuse apaisait les sens et attisait mon amour.
Je pensais…
Ta poitrine sur ma poitrine,
Hein ? nous irions,
Ayant de l'air plein la narine,
Aux frais rayons
Du bon matin bleu, qui vous baigne
Du vin de jour ?...
Quand tout le bois frissonnant saigne
Muet d'amour
Et si elle m’avait répondu…
Mais le bureau ?
Alors j’ai offert un thé à l’amante.
Elle a brisé le silence…
T’aurais pas plutôt un Martini gin ? et n’oublie pas le petit oignon frais !
… et mon cœur.
Abdelhak Bourouba, né dans la Casbah, à Alger, est actuellement un maître de la musique chaâbie, et de son instrument, le mondole.
Philippe Cognée, artiste caustique, peint à l'encaustique.
Les pigments sont liés à la cire naturelle fondue. Le séchage se fait en peu de temps, mais on peut reprendre un détail ou l'ensemble en réchauffant la matière à l'aide d'un cautère.
Cette technique était bien connue des Egyptiens, des Grecs et des Romains. On notera toutefois que les revêtements de cire observés dans les peintures murales de Pompéi sont probablement l'œuvre tardive de conservateurs, venus après l'éruption mémorable du Vesuvius qui aurait fondu le liant avec la chair.
Maison du centenaire, chambre, Pompéi
Le procédé, égaré après les peintures chrétiennes des premiers siècles, fut recherché au XVIIIè siècle et maintenu jusqu'à nos jours, par Philippe Cognée.
Et par Jasper Johns avec ses fameux drapeaux.
Jasper Johns, Flag, 1954–55, huile et encaustique, encollage sur contreplaqué, 107 x 154, The Museum of Modern Art, New York
Et par Eugène Delacroix.
Eugène Delacroix, La lutte de Jacob avec l'Ange, 1861, peinture murale à la cire, église Saint-Sulpice, Paris
Jean-Marie Dutey, alias Le Trèfle, alias Jimidi, nous a offert récemment une synthèse illustrée et documentée sur l’œuvre de Philippe Cognée, après son exposition Passages à la Galerie Daniel Templon, du 31 octobre au 31 décembre 2009.
En bref, Philippe Cognée prend des images photographiques rudimentaires et les transcrit avec un medium qui dérange l’image saisie dans l’objectif.
Nous donnerons deux images en plus, pour notre démonstration.
Philippe Cognée, Rayon froid, 2009, peinture à la cire sur toile, 150 x 190 cm
Philippe Cognée, La dernière allée, 2009, peinture à la cire sur toile, 153 x 200
Qu’est-ce que la figuration ?
On confond, parfois, figuration et représentation. Une peinture (une sculpture…) peut être figurative sans être représentative, et inversement. Une photographie est ordinairement représentative. La représentation procède d’un déplacement (d’un transfert) et d’un point de vue : il n’y a pas de représentation objective. Penser la Photographie revient seulement à reconnaître "ça a été" [Roland Barthes, La Chambre claire, 34].
Trois pommes, c’est de l’ordre de la représentation.
Le chiffre 3, c’est du figuré.
Philippe Cognée joue sur la représentation photographique et sa figuration passée au fer rouge.
Que peignait-il à l'époque, au siècle dernier, à Nantes, le Philippe Cognée ? nous demande Jimidi.
Philippe Cognée, Le plongeur, 1983, acrylique sur papier, 190 x 300
Il se demandait déjà comment faire pour que la figuration ne soit pas simple représentation photographique du réel. Le plongeur est bien représenté, la dimension du tableau lui donne une dimension réelle. Justement, la dimension réelle n’est pas le propos de la photographie.
[à revoir : l’italique et la définition de la dimension, à propos de Jean-François Lecourt, Tir dans l’appareil photographique, un de ces jours]
Plus
Le format du tableau est atypique. On dirait une fresque contrainte à l’architecture romane. Les figures entourant le plongeur, visages humains, bêtes de légende, lui donnent une dimension religieuse, un baptême en eau vive, comme le trait du pinceau, dans une peinture à l’eau.
L’iron art requiert une maîtrise impeccable des outils
Man Ray, Cadeau, 1921
Mauvais
Sinbo, Steam iron, 2009
Bon
Bonus
JMD, artiste polymorphe et discret pervers, nous a fait le plaisir d’une compilation de ses œuvres détournées où nous avons immédiatement repéré Le rideau de la Méduse.
Jean-Marie Dutey, Le rideau de la Méduse, circa 2009, calque sur calque, 497 x 600 (en pixels)
Une méta-œuvre sur l’opus La pause de Jean-Michel Alberola.
Jean-Michel Alberola, La pause, 1983, huile sur toile et rideau (masquant le tableau entre les jours anniversaires des dates de mort et de naissance de Manet), 200 x 250
[ici, sans le rideau, c’était dans les jours avec, ou sans… que les mots sont compliqués !]
Maître Jimidi prépare actuellement un détournement de la cathédrale d’Angoulême.
Avant
Après
A lire
Philippe Cognée / Henry-Claude Cousseau, Christian Bernard, Communic'art, 2009